Les maires de Montmorency, Enghien-les-Bains, Auvers-sur-Oise et Le Plessis Bouchard, qui font partie d’un collectif opposé à la loi, ont été sanctionnés financièrement par le préfet pour ne pas avoir construit suffisamment de logements sociaux. Cinq autres communes ont échappé aux sanctions malgré qu’elles n’aient pas atteint leurs objectifs. Si les élus de droite se justifient par des particularités locales, la gauche val-d’oisienne dénonce un manque d’envie politique.